Très chère Lectrice, très cher Lecteur,
C’est avec une immense fierté que nous vous présentons L’étrange mystère de la femme sans tête.
Nous espérons que cela sera pour vous un agréable moment de détente, plein de surprises… et d’émotions.
J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce roman. Cela n’a pas été sans heurt, certes ; ce fut même une gageur, un dur labeur, un pari hasardeux particulièrement long et complexe, un défi, une lutte de chaque instant contre des éléments déchaînés : ordinateur qui claque, virgules qui fuitent, un correcteur qui se suicide, un autre qui sombre dans la paranoïa et la dépression, j’en passe et des meilleurs ; oh ! mais quelle aventure incroyable que ce bouquin ! Et surtout, oui surtout, par-dessus tout, quel plaisir que de pouvoir le partager avec vous !
Voilà, moi j’ai fait ma part ; maintenant, c’est à vous de jouer.
Le livre est entre vos mains… il vous appartient. Est-ce que ce sera facile ? Pas sûr. Un conseil : lisez lentement. Les pérégrinations pour le moins rocambolesques de Stan et de son « acolyte » risquent bien de vous surprendre en plus d’un point, et votre mémoire, car tel est le thème de ce récit, va être fortement sollicitée.
Où se situe l’action de cet improbable imbroglio ? Je n’en ai pas la moindre idée, car Stan, le narrateur, est un incorrigible rêveur et, qui plus est, c’est un romantique. Romantique, écrivain, romancier… Autant dire qu’il ne faut pas le croire sur parole. Quant à Liza… Mais qui sait seulement qui est Liza ?
Alors, véritable fiction ou simple feelgood ?
Où classer cette histoire si farfelue ?
Ron l’a rangée dans le placard des biscuits, entre le paquet de Granola et les Figolu. Je n’aurais pas trouvé mieux…
Régalez-vous !
Bonne lecture
Ludo